Catégories : Femmes fessées
il y a 9 ans
Nous étions encore étudiants tous les deux à la fac de médecine à Montpellier. Nous n'étions pas encore en colocation ni en couple quand un jour il m'emmena dans les sous-sols voir quelque chose. Je m'attendais à une embuscade câline et le suivais bien volontiers, car Monsieur avait souvent des idées aussi originales qu'excitantes. Quand il me fit jurer de ne rien dévoiler de ce que j'allais voir, ma curiosité fut piquée au vif, même harcelé de questions il ne me dévoila rien et se contenta de me répondre "secret médical". En quelque sorte il n'avait pas tord....
Il semblait bien connaître les lieux et le dédale de couloirs aussi froids que sombres. Arrivés devant une porte métallique qu'il ouvrit, il s'effaça pour me céder le passage. La chaleur me surprit tout comme le nombre d'étudiants débous et silencieux. Nous nous frayâmes un passage et soudain mon coeur se mit à battre la chamade. Il dut s'en rendre compte car il me prit la main avant de mettre son doigt sur sa bouche pour me faire comprendre de me taire. Derrière un bureau deux personnes assises étaient vêtues de blanc et masquées comme les chirurgiens.
Devant ces bureaux, une fille se tenait droite comme un "I", ses mains croisées dans son dos exposaient un stress palpable. Sur le côté face au mur, deux femmes et un homme avaient les fesses nues et très rouges comme s'ils avaient été fessés. L'homme avait le pantalon sur ses pieds, les filles les jupes relevées. Ils avaient bien été fessée comme j'ai pu le constater quelques minutes plus tard quand une des personnes assises derrière le bureau se leva pour tirer la jeune femme par la main jusqu'à une chaise où il prit place.
Elle s'allongea d'elle même sur ses genoux, l'homme souleva sa robe et descendit sa culotte. Immédiatement sa main gifla ses fesses vivement, la jeune femme remonta les jambes sous la douleur, elles furent aussitôt bloquées par une de celle de son fesseur. La pauvre femme commença à se débattre, l'homme lui bloqua la main et continua de la fesser comme si ses cris le laissaient de marbre. Ses petites fesses devenaient écarlates, l'homme n'en avait que faire, il semblait compter dans sa tête le nombre de gifles qu'il donnait. Horrifiée je l'ai tiré par la main, il fallait que je quitte ce lieu de perversion remplit de sadiques et de voyeurs.
Paul m'expliqua sur le chemin du retour qu'il s'agissait en quelque sorte du tribunal des élèves et que ceux-ci étaient tous volontaires.
Les fessées reçue et la honte étaient pour eux une forme de soutien moral, de cadre mais aussi d'exutoire leur permettant de tenir le coup dans le monde impitoyable des études de médecine. La première année étant extrêmement difficile, avec un pourcentage très faible d'étudiants retenus, il leurs était proposés d'être accompagnés, d'avoir de l'aide mais en se soumettant à cette discipline. Les voyeurs n'étaient pas de simples voyeurs, ils étaient tuteurs ou élèves, ces réunions s'appuyaient d'après Paul sur le même principe psychologique que les alcooliques anonymes. Il me proposa d'être mon tuteur intime et de m'aider dans mes études, j'ai décliné sa proposition en lui demandant s'il était fou.
Quelques mois (et quelques gros câlins) plus tard, j'ai eu un gros coup de déprime, la première année de médecine est vraiment horrible. J'ai commencé à me shooter avec des activateurs de mémoire bidons, des produits pour tenir le coup mais en vain. Il m'a accordé un week-end entier pour m'aider au lieu de rentrer chez ses parents. Pour commencer, le vendredi soir il m'a obligée à sortir pour aller dîner, s'il n'avait pas été là, j'aurai sauté le repas comme bien souvent. "Un esprit saint dans un corps saint" me disait Paul.
Mes neurones et mes nerfs n'étant plus tout à fait dans leur état normal, en guise de remerciement de son invitation et de son week-end sacrifié j'ai été horrible avec lui ce soir là. Après le dîner il m'a imposée d'aller prendre un café en terrasse avant que nous nous lancions dans une soirée studieuse. Je l'aurai tué si je ne m'étais pas retenue. Arrivés chez moi, il a voulu savoir comment je travaillais avant de voir mes difficultés. Cela s'est mal passé, j'ai craqué, crié pleuré et envoyé mes cours voler dans la chambre. Il m'a attrapée, ceinturée et prise sur ses genoux pour me faire un câlin en me demandant de me calmer. Comme je continuais il m'a annoncée que mon attitude ignoble envers lui mériterait une sérieuse fessée. Et là, j'ai atteint le paroxysme de l'idiotie en lui criant " si c'est ça qui te fait bander et que tu es resté pour ça, donne-là moi ta fessée qu'on n'en parle plus".
Deux secondes plus tard je me suis retrouvée couchée sur ses genoux, troussée et déculottée. Avant de commencer il m'a criée qu'il m'aimait mais que j'avais réellement dépassé les bornes de sa patience.
Quand il a commencé à gifler mes fesses, la douleur m'a parue insoutenable, j'ai voulu me redresser et dire "stop" mais il était trop tard. Bloquée sur ses genoux avec sa jambe au dessus des miennes, je n'ai rien pu faire, d'autant plus qu'il était sacrément musclé. Mes fesses et mes cuisses ont pris feu, ma tête aussi, il ne m'a pas épargnée. Quand il s'est arrêté, j'étais démontée, mon cerveau s'était émietté façon puzzle, je pleurais comme une gamine. Il m'a prise dans ses bras et m'a fait un gros câlin en me berçant comme si j'étais un bébé, je m'y suis endormie. Le lendemain matin quand je me suis réveillée, il était là, il travaillait. Sur la table il y avait un croissant et un jus d'orange à côté d'une tasse et du thermos de café, mes cours avaient été ramassés et reclassés. Et je suis tombée amoureuse.
Je me suis réorientée et il est devenu mon mari quelques années plus tard. Personne n'a jamais assisté à mes fessées, c'est une barrière infranchissable à mes yeux. Quand il y a du monde avec nous, je sais uniquement à son regard ce qu'il m'attend quand nous serons seul.
QUELQUES LIENS
Une boutique avec du matériel pour la fessée et les punitions
15400 personnes du réseau fessestivites sont intéressées par la fessée Le critère de tri est déjà fait
400 histoires érotiques femmes fessées
150 histoires érotiques d'hommes fessés
1100 vidéos de femmes fessées SANS PUB
Plus de 300 vidéos d'hommes fessés SANS PUB
SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque
Il y a aussi des milliers de photos (toujours sans pub) de fessée dans les galeries que l'on vous laissera découvrir ICI.
De la fessée au mariage. Un itinéraire intéressant. |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)